JOURNAL, ÉCRITS & PENSÉES
Bienvenue sur la version, en langue française, de mon blog : “ DIARIES & THOUGHTS ”
ÉCRITS DE PINA & FÉMINITÉ | " Le pouvoir des belles femmes sur les hommes restera à jamais inexplicable "
Récemment, en réaction à certains de mes autoportraits, l’on m’a écrit et partagé ces mots : “ Le pouvoir des belles femmes sur les hommes restera à jamais inexplicable.”
Aussi, cet échange m’a rappelé, une lecture.
Une de mes lectures récentes que j'aimerais reprendre et poursuivre.La lecture en question, un essai : “ Mona : ou le mythe de la femme dans l’oeuvre de Henry Miller ” par Lina Toubiana. Une lecture, à, selon, entamer, reprendre, poursuivre. Entre beau et intéressant, à très intéressant.Tant en que femme, et notamment une de ces femmes, qui peuvent être adorées, adulées, fantasmées, incomprises et j'en passe, mais et aussi, une lecture à mon sens, qui peut être très belle et très intéressante, également et par ailleurs : en tant qu'homme et hommes. Car en effet et sûrement, l'homme et les hommes comprennent et ne comprennent pas (toujours) les femmes, la femme. Pourraient, peuvent, mais ne veulent aussi peut-être pas toujours non plus. Et il y a en effet, aussi et encore : ce côté, ces côtés toujours, un peu inexplicable(s), fascinants, aussi, à penser, etc.
ÉCRITS DE PINA | “ Glamourissime Écorchée ”
" C'est ce qu'il y a de plus beau,
En toi Pina,
Tes écorchures. "
Peut-être, pas que dedans alors ?
Ni seulement,
Sur aussi.
Comme pour afficher,
Un peu ... la couleur.
Peut-être aussi ?
ÉCRITS DE PINA | “ Une sorte de 5è élément ”
Parfois, ... je disparais. Puis, heureusement, je ré-apparais. D'une manière ou d'une autre. De manières ou d'autres. D'une temporalité à une autre, à d'autres.
CORRESPONDANCES & SOUVENIRS | Correspondances avec Alfred
Une correspondance, où, du léger et du moins léger s’y retrouvent. Une correspondance, où j’ai relu, et re-découvert, des passages qui peuvent être drôles, faire sourire, plein de langage binaire aussi en partie, composé alors en grande partie de oui et de non, qui s’enchaînent, qui se dualisent, et puis parfois, et puis souvent, des passages plus longs, plus profonds, plus introspectifs, aussi plus universels. Que cela soit finalement pour moi, au sujet de moi, ou pour autrui, ou d’autrui, je me suis dit, je m’en suis dit : qu’indépendamment de certains affects, qu’indépendamment aussi, d’avoir ou non, les éléments de contexte, ils pouvaient, ont pu avoir et sont toujours intéressants en quelques sortes, et surtout à divers égards, et pour différents registres d’émotions (du sourire, du rire au plus sérieux, ou plus profond, au plus difficilement pénétrable, parfois concevable) mais aussi au niveau de différentes réflexions : intéressants à redécouvrir, à découvrir, même en très grande parcimonie. Correspondances avec Alfred.
ÉCRITS DE PINA | “La Terre a tremblé”
1 … 2 3 4 … 5
Ellipse temporelle.
Aux balbutiements de mon réveil, je me souviens que la toute première phrase que j’ai dite était : “Je n’arrive pas à respirer. … Je n’arrive … pas à … respirer.” L’on m’a expliqué que c’était normal, les brancardiers je me souviens, que j’étais en train de me réveiller d’une anesthésie générale. Puis ensuite, l’une des premières choses que l’on m’a apprises au-delà de mon état, c’est que … La Terre avait tremblé. La Terre a tremblé. “ Mademoiselle, pendant le temps et la nuit, où vous avez été endormie, … la Terre a tremblé.”
ÉCRITS DE PINA | Le regard, les regards et les mots d’un caméléon, constamment inconstamment constant.
En face, derrière, autour, de près, de loin : le caméléon veille, contemple, pense, repense, ressent, conserve, déploie, rabat, subit, récupère, tente, campe, recherche, fait face, donne face, repasse, pense, panse, est, subsiste.
Créé aussi, toujours un peu, toujours beaucoup.
Si vous saviez.
Que vous le voyez ou non,
Que vous le considériez ou non.
" N'allez pas là où le chemin peut mener,
Allez là où il n'y a pas de chemin, et laissez une trace. "
(Ralph Waldo Emerson)
ÉCRITS DE PINA & ÊTRE ÂME & FEMME |Je m’aime. S’aimer soi-même.
Au fil des années, des expériences, des chapitres, et tant d'autres choses, souvent vécues de l'intérieur et gardées longtemps ou pour toujours à l'intérieur, très intimement, (je suis une spécialiste dans la construction de sarcophages), j'ai beaucoup, et de plus en plus, eu le doute : d'être aimée, pouvoir être aimée, vraiment, appréciée, valorisée, vraiment, considérée, vraiment, pleinement, dont avec aussi, un vrai soin, une vraie préoccupation, que les autres, les gens, j'ai vu, je vois, plus d'une fois : peuvent avoir et donner pour les autres, leurs autres “autres”, ou un autre, ou une autre, aussi, qui comptait ou qui compte plus, autrement, différemment, plus.
Toujours, et qui plus est donc : avec un vrai souci semble-t-il, qui, davantage résonne, pour et avec, cet autre, surtout, pour cet autre.
Un quelque chose, que vous pouvez ressentir, analyser, ne pas toujours comprendre, mais déterminer, comparer un peu et puis surtout, souvent, de plus en plus, … laisser. Parce que c'est mieux.
Aussi, vous savez, et je sais, qu'au fil des années, des expériences, des chapitres, et plus encore : j'ai souvent ressenti et je me suis souvent demandée et ai continué à me demander, comment il était possible que je puisse encore avoir, encore une fois, ce sentiment et cette impression.
Ce sentiment et cette impression que je peux être, souvent, semble-t-il : celle que vous quittez, d'une manière ou d'une autre, ou dont vous croyez qu'elle saura parfaitement gérer cela, le “cela” à gérer, pouvant varier. Gérer, tout cela, par elle-même.
Parce qu'elle est différente.
Elle a, à la fois ce quelque chose d'extrêmement fort mais et aussi : de vulnérable, tu ne le sais que trop bien au fond, vous ne le savez que trop bien au fond, oui. Mais elle est forte. Elle a ce quelque chose de fort. Et peut-être, ce n'est pas si « bankable », d'être de ce genre de cocktail, en fait. Je ne sais pas. Aussi, alors quoi ? Quoi d'autre ?
Et bien, ce que je sais, c'est que : dans le même temps, à travers ces années et d'autres choses, chapitres, expériences (Grand-mère Pina), il y a un autre sentiment que j'ai ressenti, de plus en plus, en moi : m'aimer.
M'aimer profondément.
ÉCRITS DE PINA | Ma “Phoenix Blanket”, ma “Couverture Phoenix”.
Discussion, qui était nécessaire.
Discussion, pour laquelle, il a fallu attendre, pour l’avoir.
Discussion, eue.
J'ai dit au revoir, avec gratitude et paisiblement.
Cela était nécessaire également. Chose faite également.
Bonnes et jolies âmes.
Maintenant, l'heure est : au repos, pour chacun.
Pour moi, c'est avec ma "Phoenix Blanket", ma “Couverture Phoenix”.
ÉCRITS DE PINA | Résilience, Soi & Partage
Et dans le partage, il y a aussi la réciprocité, de l'échange, de la transmission, du soutien.Alors, MERCI, merci en particulier à tous ceux qui croient en ces valeurs, en ces réalités, et qui croient notamment aussi à l'unicité et à la riche singularité de Pina, plutôt que de la briser, de l'abîmer et de la cantonner.
Aussi, je pense que ... Où que cela soit, ici, ailleurs, les grands esprits se rencontrent, oui. Pas toujours, pas seulement, pas tous. Mais oui, des grands (et beaux) esprits se rencontrent.Et je pense (oui, je pense beaucoup, comme je ressens beaucoup), aussi, et entre autres, ... que se sont des esprits et des âmes, qui : se soutiennent, s'enrichissent et s'apaisent, même quand les courants et notamment, les contre-courants, sont forts et nombreux.Il n'en reste et, ne doit pas en rester moins, pour y répondre ou tenter d'y répondre, à ces courants et contre-courants et autres adversités : nos unicités singulières.