Chaque mois : je lis, je vois, je regarde, j’écoute des contenus, entre autres. Petite rétrospective et synthèse. Aussi, je suis une sacrée casanière, mais je sors un peu hihi : d’autant plus, que j’adore cependant marcher, par exemple. Mes marches, mes sorties, définies ou non, en ville la plupart du temps, du moins lorsque je suis en région parisienne, m’amènent ou peuvent m’amener, au-delà de me retrouver à photographier différents éléments, à : découvrir, à rencontrer sur mon chemin et, ou bien, à me rendre de façon programmée ou du moins souhaitée et décidée, dans certains lieux et événements, dont des expositions. Quand c’est le cas, j’essaie de le partager un peu, en rétrospective, dans l’un de mes articles comme celui-ci. Qui sait ? Le tout, qui peut constituer, un véritable petit cocktail, peut aussi s’avérer pouvoir être une source d'inspiration et de jolies découvertes, ou de simples suggestions, diverses, pour vous-même également, et/ou pour certaines de vos connaissances. C’est parti !

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Au début du film, car je l'ai commencé un peu spontanément, sans vraiment lire à son sujet avant de lancer le visionnage, en ayant vu seulement et cependant quelques images de trailer, je craignais que cela soit un film d'horreur, sachant que je déteste, à titre personnel, les films d'horreur, que l'on soit au mois d'octobre ou non. C'est dit et c'est rappelé.

Non, ce film continent malheureusement ses horreurs, autrement, de bien d’autres manières.

Pas que des horreurs heureusement, car il est aussi question d'avancement dans la vie, de résilience, de reconquête de soi, de reconquête de sa parole, de reconquête de son histoire personnelles et de ses réelles aspirations de vie, en n’oubliant absolument jamais le passé, mais et aussi, en regardant son présent et son avenir possible. Notamment une fois, davantage, un peu plus “libérée” (peut-on vraiment l’être et le devenir complètement cependant) de son violent et douloureux passé, à plus d’un égard, tout en considérant que la société actuelle continue elle-même, au quotidien, d’être également éprouvante, dans la vie personnelle, comme dans la vie professionnelle par exemple.

Concernant les horreurs de ce film, cela parle malheureusement et entre autres : de viols, de fusillade, de craintes des couteaux, de harcèlement scolaire, d'inégalités sociales et de mobilité et ascension sociales, de développement personnel, de traumatismes et d'amour.

Magali est une créatrice française. Magali, possède et interagit via : une chaîne Youtube, un site internet, une lettre créative hebdomadaire et des ateliers en ligne.